Dans son prochain ouvrage, intitulé “Pas de retour en arrière, la vérité sur ce qui ne va pas en politique et comment nous faisons avancer l’Amérique”, Kristi Noem, la colistière de Donald Trump aux élections présidentielles de novembre, aborde un sujet délicat : l’euthanasie de son chien de chasse.
Elle relate comment sa jeune chienne, Cricket, destinée à la chasse aux faisans, était devenue agressive, perturbant ainsi la pratique de la chasse et causant des dommages chez des voisins. Ces révélations soulèvent des questions sur le traitement des animaux et suscitent des réactions contrastées.
Dans ses mémoires à paraître, Kristi Noem révèle également avoir dû euthanasier une chèvre qu’elle décrit comme “méchante” en raison de son odeur repoussante et de son comportement agressif envers ses enfants. De plus, elle mentionne avoir été confrontée à la douloureuse décision d’achever trois chevaux qui faisaient partie de sa famille depuis vingt-cinq ans.
Ces révélations ont déclenché une vague de critiques, notamment de la part de Tommy Vietor, ancien porte-parole de Barack Obama, qui a comparé les actions de Kristi Noem au comportement du célèbre tueur en série Jeffrey Dahmer. Des parodies ont également circulé sur les réseaux sociaux, et même la NFL a adressé une pique à la gouverneure du Dakota du Sud.
Consciente du risque politique qu’elle prend en exposant publiquement ces actes, l’élue reconnaît : “Je pense que si j’étais une politicienne plus habile, je n’aurais pas choisi de partager cette histoire ici.”